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Vingt ans après la loi handicap de 2005, les associations exhortent à la rendre effective par des sanctions

Le collectif Handicaps, qui regroupe 54 associations, organise un rassemblement le 10 février à Paris, afin de renforcer la pression sur le gouvernement.

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Publié le 14 janvier 2025 à 18h50, modifié le 14 janvier 2025 à 22h45

Temps de Lecture 2 min.

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Un homme en fauteuil roulant participe à une manifestation organisée par l’Association des paralysés de France, pour appeler à améliorer l’accessibilité pour les personnes handicapées, à Nantes, le 11 février 2015.

La loi existe, appliquons-la. Tel est le message porté par le Collectif Handicaps, alors que la loi du 11 février 2005 « pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » célèbre ses 20 ans. Arnaud de Broca, président de ce regroupement de 54 associations, a salué, mardi 14 janvier devant la presse, l’ambition de cette « grande loi de la République », votée sous l’impulsion de Jacques Chirac, alors président de la République, après deux ans de travaux préparatoires, de longs débats parlementaires et des compromis transpartisans. Cette loi a « suscité beaucoup d’espoirs », mais a aussi été « détricotée », selon le collectif.

Mardi, dans sa déclaration de politique générale, le premier ministre, François Bayrou, a évoqué ce texte majeur, en appelant à « poursuivre la mobilisation de l’ensemble du gouvernement autour de la politique du handicap » et à réunir « dans les meilleurs délais » un comité interministériel du handicap. Il s’est engagé à prendre une mesure concrète, le remboursement intégral des fauteuils roulants dès 2025 par l’Assurance-maladie – votée à l’unanimité par les députés, à la fin de 2024.

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