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Jean FROISSART

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  1. Le duc de Bourgogne y [à Aire] establit à demeure le vicomte de Meaux.
    Jean FROISSART II, II, 1 (à)
  2. Le roi de France, qui tint à bonne et belle ceste chevauchée…
    Jean FROISSART II, II, 1 (à)
  3. Edouard II, qui fut pere au gentil roi Edouard.
  4. Quand ils eurent bien considéré toutes leurs besognes et la dure guerre qu'ils avoient aux Anglois.
  5. Messire Thomas avoit escrit aux seigneurs qu'ils ne vinssent à Bordeaux à [avec] toute leur puissance.
    Jean FROISSART II, II, 4 (à)
  6. Il leur avoit donné à capitaine un moult gentil prince.
  7. Les Hainuyers se logerent assez près de la ville et considererent au quel lez [côté] elle estoit plus prenable.
    Jean FROISSART I, I, 102 (à)
  8. Ils furent moult esbahis : neanmoins ils se mirent à defense.
    Jean FROISSART I, I, 110 (à)
  9. Il l'appela et dit : Sire de Maubuisson, parlez à moi.
    Jean FROISSART I, I, 119 (à)
  10. Ils sentoient le comte de Foix à trop cruel… Mieux leur valoit à estre ses prisonniers que là mourir honteusement par famine.
    Jean FROISSART II, III, 7 (à)
  11. Une treve fut accordée à durer quatre mois tant seulement.
    Jean FROISSART I, I, 159 (à)
  12. Volontiers il eust attendu à bataille le roi d'Angleterre.
    Jean FROISSART I, I, 164 (à)
  13. Là il monta en mer, et cinglerent tant au vent et aux estoiles qu'ils arriverent au havre de Bayonne.
    Jean FROISSART I, I, 216 (à)
  14. Et il atourneroit tel le pays que, à quarante ans après, il ne seroit pas recouvré.
    Jean FROISSART I, I, 202 (à)
  15. Monseigneur mon frere et madame la comtesse de Hainaut vous recevront à grand joie.
  16. Et souvent y avoit des chevauchées, des rencontres et des faits d'armes des uns aux autres.
    Jean FROISSART I, I, 113 (à)
  17. Et fit dire à sa sœur qu'elle vuidast tost et hastivement son royaume, ou il l'en feroit vuider à honte.
  18. Le roi Philippe de France, qui avoit grands alliances au roi d'Escosse.
    Jean FROISSART I, I, 304 (à)
  19. À saillir un fossé, le coursier trebucha et rompit à son maistre le col.
    Jean FROISSART I, I, 325 (à)
  20. Et à ce temps là, les Escots [Écossais] aimoient et prisoient assez peu les Anglois, et encore font ils à present.