Jean FROISSART, auteur cité dans le Littré
FROISSART (1333-1404?)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme FROISSART a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Chroniques | 1369-1384 | 3891 citations |
Espinette amoureuse | 50 citations | |
Le dit dou florin | 13 citations | |
Le joli buisson de jonece | 18 citations |
Quelques citations de Jean FROISSART
Voici un tirage aléatoire parmi ses 4078 citations dans le Littré.
Si s'en engendrerent et nourrirent en Gascogne, pour ces besognes, plusieurs haines couvertes, dont plusieurs meschefs depuis en naquirent.
II, II, 2 (engendrer [1])Et firent tant finalement que la porte fut conquise.
I, I, 138 (conquérir)Malgré le proprel roi et tous ses aidans.
I, I, 22 (propre)Grand murmure mouteplia encontre Huc le Despensier.
I, I, 5 (encontre (à l'))Encor te tien-je pour kokart, Quant tu te tiens yci si tard ; Va-toi couchier…
Épin. amoureuse. (coquard)Toutes voies il considera que le couroucer ne lui pouvoit rien valoir ; si en fit le meilleur semblant comme il put, par emprunt, et leur dit…
I, 1, 73 (emprunt)Si sachez qu'il ne faisoit mie bon approcher, si on n'estoit fort armé et bien pavoisé [les assiégés accablaient les assaillants de toute espèce de projectiles].
I, I, 102 (pavoiser)Et là chantoient un psaume du psaultier David qui dit ainsi…
II, III, 15 (psautier)On me pourroit demander, qui voudroit, dont telles choses me viennent à savoir, pour en parler si proprement et si vivement.
II, III, 70 (proprement)Et disoient Anglois : Messire Jean de Montfort nous a joué de ce tour que travailler nos corps et lever nos gens et faire despendre l'argent du roi.
II, III, 63 (dépendre [3])Si fut il bien en la porte, toudis huyant et brayant et faisant signe, bien une heure.
II, III, 43 (braire)Et chevaucha tant qu'il vint en l'ost du roi de France, et se representa audit roi son oncle, qui ne lui fit mie si lie chere que le comte voulust.
I, I, 89 (représenter)Et vouloient… que on envoyast suffisans hommes devers le roi de France, à savoir si il avoit accordé ni consenti à ardoir en Hainaut… ni à quels titres cils [les soudoyers] l'avoient fait, pourtant qu'on n'avoit point defié le comte ni le pays.
I, I, 101 (titre [1])Puis s'en partit atant ; bien peut estre qu'il perdit aucuns de ses gens à se retraire, mais ce ne fut mie grandement.
I, I, 43 (bien [2])À l'entrée du chastel, par dedans, a une grosse tour qui est maistresse et souveraine de la porte du chastel.
IV, p. 35 (souverain, aine,)Et là [Philippe d'Artevelle aux Gantois] de grand sentement parla.
II, II, 155 (sentiment)…La comtesse de Montfort… quand elle entendit que son sire estoit pris [le comte de Montfort].
I, I, 158 (sire)Pour ton noble cœur encourager et eux montrer exemple en matiere d'honneur.
I, I, 1 (eux [1])Si quist on grand bois de chesnes ; et puis furent tantost ouvrés et aguisés devant…
I, I, 137 (aiguiser)Et je ai esté bien de toutes les parties et des hostels des rois, et par especial de la noble roine Mme Philippe de Haynaut… et la servois de beaux dittiés et traités amoureux.
III, IV, 1 (dittier)